samedi 8 juillet 2017

Séminaire UNPA 17-20 juillet 2017

La "Campagne pour une Assemblée parlementaire aux Nations Unies" informe que se tiendra du 17 au 20 juillet 2017, à Epirus (Grèce) un séminaire dédié aux "lois environnementales internationales et aux changements climatiques. Ce séminaire est patronné par le "Centre de recherche constitutionnelle pour les Nations Unies" (CUNCR)

L'Assemblée des Citoyens du Monde (Ascop) est est signataire de cette campagne aux côtés de plus de 350 organisations de la société civile.

La Campagne pour une Assemblée parlementaire à l'ONU est un réseau mondial militant pour la représentation démocratique des citoyens du monde au sein de l'ONU et des institutions de gouvernance mondiale.

L'objectif global de la campagne est de mobiliser le soutien gouvernemental nécessaire à la création d'une APNU( Association Parlementaire aux Nations Unies) . La campagne approche les gouvernements, tout en cherchant à recueillir un soutien parlementaire.

La campagne milite pour la création d'une APNU à tous les niveaux de la société civile, obtient le soutien d'organisations non gouvernementales et œuvre à sensibiliser le grand public à l'APNU comme solution au déficit démocratique de la gouvernance mondiale.

Dialogues en humanité, saison 15

La saison 15 a débuté hier, vous avez jusqu'à demain pour profiter de cet événement magnifique qui se déroule dans le parc de la tête d'or de Lyon.

La petite histoire : Les Dialogues en humanité sont nés en 2002, lors du Sommet Mondial de Johannesburg. Ils sont le fruit de la rencontre entre Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon et Président du Grand Lyon, Patrick Viveret, philosophe, auteur de « Pourquoi ça ne va pas plus mal » et conseiller-maître à la Cour des Comptes, et Geneviève Ancel, chargée du développement durable au Grand Lyon et à la Ville de Lyon, puis coordinatrice des Dialogues et de leur essaimage. Cette démarche s’inscrit dans la tradition humaniste de Lyon avec une ambition : poser la question humaine comme question politique

La première édition sous l'égide du maire  Monsieur Gérard Collomb avait débuté en 2003 voir archives. En 2010, elles accueillirent un débat mémorable entre Stéphane Kessel et Danièle Mitterrand voir interview http://www.france-libertes.org/Interview-de-Danielle-Mitterrand.html

Un programme riche en qualité et quantité pour cette nouvelle édition : voir lien ici



Voici un extrait du programme.


C) «Construire une vision arc en ciel de notre pays la terre, de notre citoyenneté mondiale»

 


Au coeur de la mutation ou de la transition, rappelons aussi la définition que Gramsci donnait de la crise: c’est quand le vieux monde est en train de mourir, et que le nouveau monde tarde à naitre. Dans ce clair-obscur, naissent les monstres.
La paix ça s’apprend! ou comment guérir de la violence et du terrorisme, aux Editions Actes Sud, par Thomas D’Ansembourg et l’anthropologue David Van Reybrouck
Loin d’accepter ce que nous ne pouvons changer, il nous faut changer ce que nous ne pouvons accepter Angela Davis citée par Naomi Klein pour le Leap Manifesto au Canada

Un peuple qui danse fait reculer l’intolérance selon l’anthropologue et écrivain nomade Jean-Yves Loude

Mise en perspective et en visibilité de multiples initiatives dans nos cités et en réseau dans le monde pour grandir en humanité.
A partir du vécu de chacun et de l’expérience de tous ceux qui font naître une disposition nous rendant aptes à proposer toujours de nouveaux moyens pour atteindre l’émancipation de l’humanité


Contacts Grand Lyon

Evaezi Otuorimuo eotuorimuo@grandlyon.com(link sends e-mail) tél +33 (0)4 26 99 33 47
Geneviève Ancel gancel@grandlyon.com(link sends e-mail) tél + 33 (0)4 26 99 38 72 ou +33 6 89 74 46 86
Alicia Sanchez alsanchez@grandlyon.com(link sends e-mail) tél + 33 (0)4 26 99 33 48
Mathilde Sihr msihr@grandlyon.com(link sends e-mail) tél +33 (0)4 26 99 33 45
Sarah Courbière scourbiere@grandlyon.com(link sends e-mail) tél + 33 (0)4 26 99 33 46
Juliette Goemaere jgoemaere@grandlyon.com(link sends e-mail) tél +33 (0)4 26 99 33 41
Matteo Povero mpovero@grandlyon.com(link sends e-mail) tél +33 (0)4 26 99 33 41


Journée de la destruction des armes légères 9 juillet 2017

Demain, un évènement majeur dans l'esprit des citoyens monde sensibles au combat pour un désarment mondial, la lute contre le nucléaire, les armes chimiques et les mines anti personnelles ne pouvait pas les laisser, indifférents.

Cette journée de la destruction des armes légères est d'une grande importance aux yeux de l'opinion pour le fait essentiel que les armes légères provoquent des morts par centaines de milliers chaque année et sont liées à la quasi majorité des faits divers de nos quotidiens. Il n'est pas rare que les victimes soient des proches des porteurs d'armes, blessées ou plus gravement tuées par erreur ou sous l'effet d'une dispute passagère.


http://www.journee-mondiale.com/date/09-07.htm



La Journée internationale de la destruction des armes légères a été lancée par les Nations unies en 2001.

A l’occasion de la Journée internationale de la destruction des armes légères, des victimes de la violence par les armes procèdent à la destruction d’armes aux quatre coins de la planète. Ces actions locales interviennent après la publication par les organisateurs de la campagne pour le contrôle des armes –Oxfam, Amnesty International et Réseau d’action international sur les armes légères (RAIAL) – de statistiques révélant l’existence d’une arme pour dix habitants dans le monde. En moyenne, 800 000 sont détruites chaque année, mais les armes non réglementées restent un problème majeur : pour chaque arme détruite, dix sont produites.

Lorsqu'elles tombent entre de mauvaises mains, les armes sont responsables de centaines de milliers de morts, et de bien plus encore de blessés chaque année. Les armes non réglementées sont utilisées dans des crimes perpétrés partout dans le monde : homicides, déplacements forcés, viols et actes de torture.

"La Journée internationale de la destruction des armes légères est l'occasion pour tout un chacun de prendre des initiatives visant à attaquer de front le problème des armes. Or, étant donné que pour chaque arme détruite, dix sont produites, les efforts déployés par le citoyen lambda sont minés par le refus d’agir des gouvernements : pour chaque pas en avant, on recule de dix. Tant qu’on n’aura pas créé un traité international sur le commerce des armes, les initiatives locales seront toujours sabotées par l’inaction des autorités et les armes continueront de tomber entre de mauvaises mains."

Barbara Stocking, directrice d’Oxfam


Les chiffres parlent d’eux-mêmes
Environ 640 millions d’armes sont en circulation, soit une pour dix personnes.
Quelque 8 millions d’armes sont produites chaque année.
Environ 14 milliards de cartouches à usage militaire sont fabriquées tous les ans, ce qui correspond à deux balles par personne.
Mille deux cent quarante-neuf entreprises implantées dans plus de 90 pays produisent des armes légères. Dans certains de ces États, les réglementations commerciales sont quasi inexistantes.
Dans les deux principaux pays producteurs d’armes – les États-Unis et la Russie –, le volume de production d’armes de type militaire augmente.
Au lieu de détruire les armes vétustes ou en surnombre, la plupart des États revendent leurs stocks excédentaires et assurent ainsi la prolifération toujours plus importante des armes sur la planète.
Seuls trois pays – le Nigéria, la Lettonie et l’Afrique du Sud – disposent d’une politique de destruction des excédents ou des saisies d’armes. Des informations précises font état de ventes au rabais d’armes qui se retrouvent entre les mains de criminels ou de rebelles.
En moyenne, environ un million d’armes sont perdues ou volées chaque année.
Plusieurs centaines de milliers d’armes sont perdues par les forces de sécurité des États chaque année.

L’exemple de l’Irak illustre de manière extrême cette dernière donnée : en 2003, des millions d’armes ont été pillées à travers le pays. Au moins 650000 tonnes d’armements et d’explosifs ont été saisis par les forces américaines et alliées sur l’ensemble du territoire, dans des dépôts militaires abandonnés ; restées quasiment sans surveillance, de grandes quantités d’armes ont été volées.


Agir pour la destruction des armes

Aux quatre coins de la planète, des personnes ayant réchappé à la violence par les armes, des familles de victimes et des militants procèdent à la destruction d’armes :
Au Brésil, 6 500 armes à feu illégales saisies par la police seront détruites par Viva Rio, par l’armée brésilienne et par les autorités de l’État de Rio. Oscar Niemeyer, le célèbre architecte brésilien, érigera un monument de la paix à partir des armes détruites.
En Afrique du Sud, des groupes militant en faveur du contrôle des armes s’emploieront, avec les autorités, à détruire publiquement une cache d’armes illégales. Cette initiative marquera l’entrée en vigueur de la nouvelle loi relative au contrôle des armes à feu, dont l’objectif est de diminuer les réserves d’armes au sein de la population.
À Londres (Royaume-Uni), des familles ayant perdu un enfant dans des faits de violence armée écraseront 300 armes symboliques à l’aide d’un rouleau compresseur.
Enfin, au Cambodge, 4000 armes illégales ou en excédent seront détruites à l’occasion d’une cérémonie intitulée " Flamme de la Paix ".

La Journée internationale de la destruction des armes légères constitue l’événement majeur de la semaine mondiale d’action contre les armes légères. À cette occasion, des groupes de plus d’une quarantaine de pays du monde entier ont pris l’initiative d’agir contre la violence armée dans leurs lieux de vie.

"Les vraies armes de destruction massive, ce sont les armes classiques. Il est temps que les gouvernements déploient autant d’efforts pour contrôler le commerce des armes que pour tenter de mettre fin à la prolifération d’armes de destruction massive."

Rebecca Peters, directrice du Réseau d’action international sur les armes légères (RAIAL)

Un site à visiter : www.controlarms.org



quelques liens :http://www.dailymotion.com/video/x25j9zm

vendredi 30 juin 2017

La Méditerranée n'appartient à personne, elle mérite le respect.

Insupportable de découvrir  comment le Liban traite ses déchets. C'est une provocation inadmissible à l'encontre du peuple Libanais mais aussi à l'encontre de tous les peuples du bassin méditerranéen. Chaque état, chaque peuple se doit de respecter l'environnement dans lequel il vit. 
Evoquer le droit à faire ce qu'on veut dans ses eaux territoriales n'est pas acceptable.


L'article du Monde (http://lemonde.fr/pollution/article/2017/06/29/au-liban-une-montagne-de-dechets-enfouie-en-mer_5152992_1652666.html )  est révélateur d'une situation plus que choquante et c'est notre devoir de citoyen d'alerter l'opinion. L'article étant réservé aux abonnés, je me permets d'en publier un extrait.


Dans le projet, des « faiblesses »

En mars 2016, le précédent gouvernement avait annoncé un plan temporaire pour venir à bout de la crise des poubelles qui secouait Beyrouth et ses banlieues depuis des mois, à la suite de la fermeture du principal centre de traitement. L’accord consiste à créer deux décharges sanitaires sur le littoral, au nord et au sud de la capitale, dont une à Bourj Hammoud. En donnant son accord, la municipalité de cette banlieue obtient que le site de sa vieille montagne de poubelles qui borde le port de Dora soit réhabilité.
A l’été 2016, le marché est confié, dans des conditions contestées, à la société Khoury Contracting. Sa mission : créer les cellules d’enfouissement de la nouvelle décharge pour accueillir chaque jour 1 200 tonnes de déchets au pied de l’ancienne montagne qu’elle doit aussi traiter. Du coup, le problème du stockage des ordures est devenu double. Khoury Contracting, qui doit construire une digue de trois kilomètres pour isoler le tout, n’en a érigé que moins de 20 % jusqu’à présent.
Un membre du Conseil du développement et de la reconstruction (CDR), l’institution chargée de la mise en place du plan gouvernemental, assure que « les remblais sont aménagés dans une partie isolée de la mer, qui forme un triangle fermé par un endiguement provisoire ». Cet interlocuteur reconnaît toutefois que le projet a des « faiblesses »« Pour avancer avec les cellules d’enfouissement, il faut venir à bout des quatre millions de mètres cubes de l’ancienne montagne de Bourj Hammoud, argumente-t-il. On teste les taux de mercure – ils sont acceptables –, on enlève ce qui peut être nuisible à l’eau, comme certains métaux. Mais il n’est pas possible de faire un tri dans le détail, cela compliquerait beaucoup les travaux. » Selon le quotidien Al-Akhbar, près de 40 % de l’ancien dépotoir sauvage a déjà été enfoui dans la Méditerranée. Des opposants jurent que des déchets fraîchement entreposés ont aussi été jetés en mer, ce que nie le CDR.

« Certains vivent dans le déni »

Quand on part en mer, l’eau, opaque, oscille entre le vert sombre et le marron. Des morceaux de plastique noir surnagent çà et là. « Au Liban, personne ne cherche de solution durable. Toute cette mer est devenue une poubelle ! Environnement, santé, écosystème maritime : les dégâts sont sans limites », tempête Wadih (un pseudonyme), sur son bateau. Ce pêcheur ne sort plus qu’épisodiquement depuis que les travaux ont été lancés, fatigué d’attraper « des sacs plastique » à la place de poissons, même au largeAutant de mauvaises surprises qui abîment les filets et les hélices.
« La pollution des eaux côtières est ancienne : les égouts sont jetés à la mer. Mais ces travaux ajoutent à la pollution, résume Hanna Chawah, le président du syndicat des pêcheurs de Beyrouth et de ses banlieues, dans son bureau du port de Dora. On se demande pourquoi ils n’ont pas fait de digue dès le début : jusqu’à il y a deux mois, les poubelles étaient jetées sans qu’il y ait le moindre barrage. »
Abou Elias, un pêcheur de 65 ans, lève un œil distrait de son filet et s’exclame : « Ecrivez bien que la mer ne se pollue pas ! » Si ses clients sont devenus moins nombreux, c’est « parce qu’ils ne le savent pas. Je mange du poisson chaque jour, je suis en excellente santé ! » Selon lui, la diminution des poissons tient à la surexploitation des ressources.
« Certains vivent dans le déni. Ils préfèrent dire que la mer est propre afin de vendre leur maigre prise, objecte Wadih. On a manifesté contre les travaux, mais cela ne sert à rien. La société [de traitement des déchets] est bien plus puissante que nous. Rien n’arrêtera le projet. » Pour lui, si des sites de décharge ont été autorisés sur le littoral, avec tous les risques que cela pose pour la mer, c’est « à cause de l’argent. » Des soupçons de corruption pèsent depuis des années sur le secteur de la gestion des déchets au Liban.

Collectif You Stink

Avec deux confrères, l’avocat Hassan Bazzi a lancé des procédures judiciaires pour obtenir la fermeture des deux décharges. Un juge leur a donné raison pour l’un de ces sites, mais sa fermeture n’a pas été actée. Un autre verdict est attendu début juillet. « Il y a beaucoup de pressions politiques », explique M. Bazzi, proche du collectif You Stink, qui dénonce depuis 2015 la mauvaise gouvernance sur le dossier des poubelles. Concernant le site de Bourj Hammoud, l’avocat soupçonne notamment « la présence de barils toxiques [fruit d’un ancien trafic venu d’Italie] dans l’ancienne montagne ». Le CDR dément formellement.
Gouvernement et CDR se rejettent mutuellement la responsabilité des manquements. Les pêcheurs, eux, réclament des indemnités. « La seule fois où l’Etat nous a versé une compensation, c’était en 2006, lorsque Israël a bombardé des réserves de fioul qui s’étaient déversées en mer. On a eu 200 dollars par tête… », dit Hanna Chawah. « On vit dans les microbes, on n’a pas d’alternative. Mais au moins, qu’on puisse se faire soigner ! Qu’ils nous donnent la sécurité sociale », plaide, résigné, Elias, 40 ans.
L’été venu, de nombreux Libanais habitués à se baigner en mer s’alarment de l’étendue du désastre. Les militants de You Stink et d’autres mouvements appellent les pays riverains de la Méditerranée à faire pression sur le Liban, signataire de la convention de Barcelone pour la protection de cette mer vulnérable, afin d’endiguer la pollution.






mercredi 28 juin 2017

Asgardia, 1ère nation de l'Espace



On est en train de passer de la réalité à la fiction.
La première nation autoproclamée “de l’espace”, baptisée Asgardia, est désormais prête à recevoir des demandes de naturalisation. Ses 100 000 premiers citoyens pourront chacun stocker 300 kilo-octets de données personnelles dans un satellite qui sera lancé en septembre.

C'est en octobre 2016, l’informaticien et homme d’affaires russe Igor Ashurbeyli avait annoncé son ambitieux projet de créer une nation flottant dans l’espace, “libre des lois et des règlements qui régissent actuellement les voyages spatiaux et les États-nations terrestres
 Quelle est la constitution qui régit Asgardia ?



Article 6. Citoyens Asgardiens 1. Tout résident de la Terre âgé de plus de 18 ans qui accepte la Déclaration d’Unité et la Constitution d’Asgardia et soumet consciemment ses données personnelles numériques à la Base de données spatiales d’Asgardia peut devenir un citoyen Asgardien. 2. La citoyenneté spatiale d’Asgardia est un type spécial de citoyenneté et ne constitue pas un double ou une deuxième citoyenneté aux fins de la citoyenneté de la Terre. Un citoyen d’une nation de terre devenant un citoyen de l’espace ne confère pas le statut de citoyenneté multiple sauf par dispositions contraires découlant d’un traité international dont Asgardia fait partie. 3. Un enfant prend la citoyenneté spatiale d’Asgardia à la naissance si un ou les deux parents est / sont des citoyens spatiaux d’Asgardia. Un enfant né avant la Fondation d’Asgardia peut devenir un citoyen sur la demande de ses parents qui sont citoyens d’Asgardia. 4. La citoyenneté de l’espace peut être résiliée par le citoyen Asgardien qui renonce à la citoyenneté ou par Asgardia révoquant ou suspendant temporairement sa citoyenneté. La citoyenneté spatiale peut également être suspendue temporairement par Asgardia. 5. Les motifs de la révocation ou de la suspension de la citoyenneté spatiale, ainsi que des restrictions à l’acceptation des nouveaux citoyens, sont fixés par les lois d’Asgardia. Article 7. Emplacement des citoyens 1. Les citoyens Asgardiens ont le droit de se déplacer librement dans les localités d’Asgardia et le droit de choisir leur emplacement dans les pays de la Terre. 2. La résidence permanente d’un citoyen Asgardien dans une nation de la Terre ne prive ni ne diminue de ses droits ou ses libertés, ne suspend pas ou ne met pas fin à sa citoyenneté et n’annule pas ses obligations envers Asgardia. Article 8. Droits et libertés des citoyens 1. Tous les droits de l’homme et de citoyenneté et les libertés sont reconnus à Asgardia, conformément aux normes et principes internationaux généralement reconnus. Par la loi, les droits de l’homme et les libertés sont inaliénables et appréciés par toutes les personnes depuis leur naissance. 2. Tous les citoyens asgardiens seront égaux. C H A P I T R E 3 . LA CITOYENNETÉ SPATIALE D’ASGARDIA 8 3. Les personnes qui acquièrent une citoyenneté spatiale à la naissance acquièrent et exercent des droits et s’acquittent intégralement aux obligations à l’âge légal de 18 ans


Asgardia-1 sera envoyé en orbite par la société américaine Orbital ATK, en même temps qu’elle lancera, le 12 septembre, son vaisseau cargo Cygnus, chargé de ravitailler la Station spatiale internationale. En attendant, tous les Terriens qui le souhaitent peuvent remplir un formulaire en ligne pour devenir citoyen d’Asgardia, “sans sacrifier leur nationalité actuelle”, précise Motherboarddans un autre article.







Les 100 000 premiers naturalisés pourront stocker 300 kilo-octets de données personnelles dans le satellite Asgardia-1, et les 400 000 suivants se verront attribuer 200 kilo-octets de stockage gratuit. “Le million d’Asgardiens suivant sera éligible à 100 kilo-octets de stockage de données”, poursuit Motherboard. Ce sont de tout petits espaces de stockage – à peine de quoi garder une photo de son chat en basse résolution –, mais qui seront conservés “aussi longtemps qu’Asgardia existera, a assuré Igor Ashurbeyli lors de la conférence, autrement dit pour toujours.”

Et, dès le 18 juin, les Asgardiens seront appelés à voter pour la Constitution de la nation, son drapeau, ses armoiries et son hymne national. “Le Parlement d’Asgardia devrait être formé dans les six mois qui suivent”, rapporte Motherboard.



Liens relatant l'idée

 https://motherboard.vice.com/en_us/article/new4kk/become-a-citizen-of-the-asgardia-space-nation-with-300kb-of-data

http://www.courrierinternational.com/article/sciences-devenez-citoyen-dasgardia-premiere-nation-de-lespace

samedi 24 juin 2017

JECA (Journées économiques et consulaires africaines) , 3 ième édition, Lyon

Les journées économiques et consulaires africaines, 3ième édition se tiendront du 30 juin 2017 au 01 juillet 2017 à Lyon.
Elles se tiendront précisément à la faculté catholique de Lyon. Plus de détails ici http://www.lyon-communiques.com/communiques/journees-economiques-africaines-a-lyon-c157441.htm

Sur proposition de la Métropole de Lyon, les Jeca coïncident avec la Grande Fête Consulaire de Lyon pour mieux assurer une visibilité et une communication optimale de l'événement.












samedi 22 avril 2017

Demain, nous avons rendez vous avec l'Histoire

Les Citoyens du Monde de France ne se sont pas impliqués dans la campagne électorale française qui pourtant marquera l'Histoire de France. Nous sommes à un véritable tournant à un moment où la société Française ne sait jamais autant divisée entre les partisans de l'enfermement sur soi et l'ouverture sur l'Europe et le Monde. Les évènements violents qui se sont produits en France avec un record d'attentats terroristes et pour la première fois depuis plus de 60 ans, une France en état d'urgence avec un afflux record de réfugiés fuyant la guerre en recherche d'un havre de paix ne peux que provoquer un repli sur soi et favoriser les partis les plus extrêmes tentés par le protectionnisme économique.

Le Mouvement des Citoyens du Monde ne peut pas continuer à rester passif par rapport au risque d'implosion de la société française mais n'a pas à dicter la conduite des électeurs Français. 

Il est pourtant dans son rôle à inciter les électeurs à effectuer leur devoir de citoyen et d'aller massivement voter pour le candidat qu'ils considèrent comme le mieux à même de représenter leur idéal.

Alors à tous, je souhaite un bon vote en espérant que les Français en toute conscience seront choisir le meilleur représentant sur les deux scrutins et qu'ainsi la France pourra jouer son rôle de grande nation au sein d'une Europe des Peuples.