Depuis plusieurs semaines des Algériens et Marocains se sont engagés à faire vivre la paix de manière concrète entre leurs pays respectifs et pour concrétiser cet acte, ils ont lancé une pétition à l'échelle mondiale pour obtenir un maximum de soutiens. Pour plus de détails, cliquez ici http://parolededemocrate.blogspot.fr/2013/11/petition-pour-une-fraternite-entre-les.html
vendredi 15 novembre 2013
jeudi 25 juillet 2013
Garry Davis n'est plus
Nous venons d'apprendre le décès de Garry Davis considéré comme le premier " citoyen du monde" ce mercredi 24 juillet 2013. Plus de détails tout à l'heure .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Garry_Davis
http://fr.wikipedia.org/wiki/Garry_Davis
jeudi 20 juin 2013
message à l'attention des beligérants du conflit syrien
ASSOCIATION OF WORLD CITIZENS
رابطة مواطني العالم
OFFICE TO THE UNITED NATIONS
GENEVA
S. E. M. Bachar al-Assad Le 15 juin 2013
Président de la République arabe syrienne
S. E. M. George Sabra
Président de la Coalition nationale
pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition
Excellences,
En tant qu’Organisation Non-Gouvernementale dotée du Statut Consultatif
auprès de l’ONU et active à ce titre auprès du Conseil des Droits de
l’Homme, l’Association of World Citizens (AWC) est particulièrement
préoccupée d’entendre que tant les forces gouvernementales que l’Armée
syrienne libre (ASL) ont utilisé des écoles comme bases militaires,
casernes, centres de détention et postes de tireurs embusqués,
transformant ainsi des lieux de savoir en des cibles militaires et
plaçant les élèves au cœur du danger.
Selon nos sources, des
enseignants et des agents de sécurité de l’Etat ont interrogé et frappé
des élèves soupçonnés d’activités anti-gouvernementales. Nous apprenons
également que les forces de sécurité et les shabiha, milices
pro-gouvernementales, s’en sont prises à des manifestations
non-violentes d’étudiants. Dans plusieurs cas, les forces
gouvernementales ont tiré sur des bâtiments scolaires qui n’étaient en
aucune façon utilisés à des fins militaires.
Plus de deux ans
après le début du violent conflit en Syrie, les enfants ont perdu des
mois, si ce n’est des années, de leurs études. Au moins une école sur
cinq en Syrie ne fonctionne plus, des milliers d’autres ont été
détruites, endommagées ou abritent à présent des civils fuyant la
violence, selon des chiffres du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance
(UNICEF). Bien d’autres écoles encore abritent quant à elles des
combattants ou des unités militaires.
Il apparaît que des
fonctionnaires de l’Etat syrien, parmi lesquels des enseignants, ont
mené des interrogatoires, des arrestations et des raids contre six
écoles à Daraa, Homs et le Grand Damas, conduisant les élèves à rester
chez eux par peur de se rendre à l’école. Des enseignants et autres
membres du personnel éducatif ont interrogé des étudiants quant à leurs
opinions politiques et sur de supposées activités anti-gouvernementales
qui seraient les leurs et celles de leurs familles, frappant dans
certains cas des étudiants qui étaient en effet engagés dans des
activités hostiles au Gouvernement.
Des élèves, des parents
d’élèves et des enseignants affirment avoir été les témoins d’attaques
commises par les forces gouvernementales de sécurité et les milices,
parfois même de tirs à balles réelles, contre des manifestations et
défilés d’étudiants, lesquelles ont causé chez un certain nombre d’entre
eux des blessures graves.
Dans les zones de combat, les forces
armées syriennes ont commis d’apparentes violations des lois de la
guerre en menant des attaques terrestres et aériennes contre des écoles
qui n’étaient pas utilisées à des fins militaires. Au milieu de l’année
2012, les forces gouvernementales et leurs milices alliées ont fait feu
sur des écoles à Daraa alors même que les élèves s’y trouvaient. Les
forces gouvernementales ont aussi conduit au moins deux attaques
aériennes contre des bâtiments scolaires dans le nord de la Syrie.
En fait, ce sont tant les forces gouvernementales que les unités de
l’ASL qui occupent des écoles et les utilisent comme postes de
commandement, casernes et centres de détention, ainsi que pour d’autres
fonctions de nature militaire encore, mettant ainsi en danger le droit à
la sécurité et à l’éducation qui est celui des enfants.
Les
forces gouvernementales ont positionné des tireurs embusqués sur les
toits d’au moins deux écoles du gouvernorat de Damas, cependant que,
dans l’une d’elles, les élèves étaient toujours en cours. Les deux
parties au conflit ont déployé leurs forces dans des écoles, dont
certaines sont toujours ouvertes aujourd’hui, ce qui en fait des cibles
militaires et place tant les élèves que le personnel scolaire à portée
des tirs ennemis.
Avant le début de l’insurrection syrienne en
mars 2011, près de 93% des enfants que la loi y autorise étaient
inscrits à l’école primaire et 67% l’étaient dans l’enseignement
secondaire, d’après l’Institut des Statistiques de l’Organisation des
Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Environ 95% de la population âgée de 15 à 24 ans savait lire.
L’AWC estime que le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour
les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition ont la
responsabilité commune de protéger les vies des enfants ainsi que leur
droit à l’éducation. L’utilisation d’écoles à des fins militaires ne
fait qu’exposer les enfants au danger et détruire tous leurs espoirs
pour l’avenir.
L’ONU est l’instrument principal dont dispose la
communauté des Etats pour guider en son sein la vie en commun, selon
des normes que tous ont acceptées en ratifiant la Charte des Nations
Unies et selon les dispositions du droit mondial.
L’AWC a
toujours fortement défendu le Droit à l’Education et s’est toujours
employée de manière active à soutenir le développement de l’éducation
dans un véritable esprit international.
En conséquence, l’AWC appelle :
– Le Gouvernement syrien à cesser de faire interroger et punir les
élèves par les enseignants pour « activités anti-gouvernementales »,
ainsi qu’à mettre fin aux attaques contre des écoles et autres sites
civils protégés,
– Le Gouvernement syrien et la Coalition
nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition à
cesser de déployer leurs soldats à l’intérieur ou aux alentours d’écoles
ouvertes.
Nous remercions grandement par avance le
Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes
révolutionnaires et d’Opposition de veiller ainsi au respect en Syrie
des normes internationales définies par l’ONU pour les droits des
enfants.
Nous vous prions de croire, Excellences, en l’assurance de notre haute considération.
Prof. René Wadlow
Président
Association of World Citizens
Bernard Henry
Officier des Relations Extérieures
Bureau de Représentation auprès
de l’Office des Nations Unies à Genève
Association of World Citizens
Cherifa Maaoui
Officier de Liaison Afrique du Nord & Moyen Orient
Bureau de Représentation auprès
de l’Office des Nations Unies à Genève
Association of World Citizens
رابطة مواطني العالم
OFFICE TO THE UNITED NATIONS
GENEVA
S. E. M. Bachar al-Assad Le 15 juin 2013
Président de la République arabe syrienne
S. E. M. George Sabra
Président de la Coalition nationale
pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition
Excellences,
En tant qu’Organisation Non-Gouvernementale dotée du Statut Consultatif
auprès de l’ONU et active à ce titre auprès du Conseil des Droits de
l’Homme, l’Association of World Citizens (AWC) est particulièrement
préoccupée d’entendre que tant les forces gouvernementales que l’Armée
syrienne libre (ASL) ont utilisé des écoles comme bases militaires,
casernes, centres de détention et postes de tireurs embusqués,
transformant ainsi des lieux de savoir en des cibles militaires et
plaçant les élèves au cœur du danger.
Selon nos sources, des enseignants et des agents de sécurité de l’Etat ont interrogé et frappé des élèves soupçonnés d’activités anti-gouvernementales. Nous apprenons également que les forces de sécurité et les shabiha, milices pro-gouvernementales, s’en sont prises à des manifestations non-violentes d’étudiants. Dans plusieurs cas, les forces gouvernementales ont tiré sur des bâtiments scolaires qui n’étaient en aucune façon utilisés à des fins militaires.
Plus de deux ans après le début du violent conflit en Syrie, les enfants ont perdu des mois, si ce n’est des années, de leurs études. Au moins une école sur cinq en Syrie ne fonctionne plus, des milliers d’autres ont été détruites, endommagées ou abritent à présent des civils fuyant la violence, selon des chiffres du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF). Bien d’autres écoles encore abritent quant à elles des combattants ou des unités militaires.
Il apparaît que des fonctionnaires de l’Etat syrien, parmi lesquels des enseignants, ont mené des interrogatoires, des arrestations et des raids contre six écoles à Daraa, Homs et le Grand Damas, conduisant les élèves à rester chez eux par peur de se rendre à l’école. Des enseignants et autres membres du personnel éducatif ont interrogé des étudiants quant à leurs opinions politiques et sur de supposées activités anti-gouvernementales qui seraient les leurs et celles de leurs familles, frappant dans certains cas des étudiants qui étaient en effet engagés dans des activités hostiles au Gouvernement.
Des élèves, des parents d’élèves et des enseignants affirment avoir été les témoins d’attaques commises par les forces gouvernementales de sécurité et les milices, parfois même de tirs à balles réelles, contre des manifestations et défilés d’étudiants, lesquelles ont causé chez un certain nombre d’entre eux des blessures graves.
Dans les zones de combat, les forces armées syriennes ont commis d’apparentes violations des lois de la guerre en menant des attaques terrestres et aériennes contre des écoles qui n’étaient pas utilisées à des fins militaires. Au milieu de l’année 2012, les forces gouvernementales et leurs milices alliées ont fait feu sur des écoles à Daraa alors même que les élèves s’y trouvaient. Les forces gouvernementales ont aussi conduit au moins deux attaques aériennes contre des bâtiments scolaires dans le nord de la Syrie.
En fait, ce sont tant les forces gouvernementales que les unités de l’ASL qui occupent des écoles et les utilisent comme postes de commandement, casernes et centres de détention, ainsi que pour d’autres fonctions de nature militaire encore, mettant ainsi en danger le droit à la sécurité et à l’éducation qui est celui des enfants.
Les forces gouvernementales ont positionné des tireurs embusqués sur les toits d’au moins deux écoles du gouvernorat de Damas, cependant que, dans l’une d’elles, les élèves étaient toujours en cours. Les deux parties au conflit ont déployé leurs forces dans des écoles, dont certaines sont toujours ouvertes aujourd’hui, ce qui en fait des cibles militaires et place tant les élèves que le personnel scolaire à portée des tirs ennemis.
Avant le début de l’insurrection syrienne en mars 2011, près de 93% des enfants que la loi y autorise étaient inscrits à l’école primaire et 67% l’étaient dans l’enseignement secondaire, d’après l’Institut des Statistiques de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO). Environ 95% de la population âgée de 15 à 24 ans savait lire.
L’AWC estime que le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition ont la responsabilité commune de protéger les vies des enfants ainsi que leur droit à l’éducation. L’utilisation d’écoles à des fins militaires ne fait qu’exposer les enfants au danger et détruire tous leurs espoirs pour l’avenir.
L’ONU est l’instrument principal dont dispose la communauté des Etats pour guider en son sein la vie en commun, selon des normes que tous ont acceptées en ratifiant la Charte des Nations Unies et selon les dispositions du droit mondial.
L’AWC a toujours fortement défendu le Droit à l’Education et s’est toujours employée de manière active à soutenir le développement de l’éducation dans un véritable esprit international.
En conséquence, l’AWC appelle :
– Le Gouvernement syrien à cesser de faire interroger et punir les élèves par les enseignants pour « activités anti-gouvernementales », ainsi qu’à mettre fin aux attaques contre des écoles et autres sites civils protégés,
– Le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition à cesser de déployer leurs soldats à l’intérieur ou aux alentours d’écoles ouvertes.
Nous remercions grandement par avance le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition de veiller ainsi au respect en Syrie des normes internationales définies par l’ONU pour les droits des enfants.
Nous vous prions de croire, Excellences, en l’assurance de notre haute considération.
Selon nos sources, des enseignants et des agents de sécurité de l’Etat ont interrogé et frappé des élèves soupçonnés d’activités anti-gouvernementales. Nous apprenons également que les forces de sécurité et les shabiha, milices pro-gouvernementales, s’en sont prises à des manifestations non-violentes d’étudiants. Dans plusieurs cas, les forces gouvernementales ont tiré sur des bâtiments scolaires qui n’étaient en aucune façon utilisés à des fins militaires.
Plus de deux ans après le début du violent conflit en Syrie, les enfants ont perdu des mois, si ce n’est des années, de leurs études. Au moins une école sur cinq en Syrie ne fonctionne plus, des milliers d’autres ont été détruites, endommagées ou abritent à présent des civils fuyant la violence, selon des chiffres du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF). Bien d’autres écoles encore abritent quant à elles des combattants ou des unités militaires.
Il apparaît que des fonctionnaires de l’Etat syrien, parmi lesquels des enseignants, ont mené des interrogatoires, des arrestations et des raids contre six écoles à Daraa, Homs et le Grand Damas, conduisant les élèves à rester chez eux par peur de se rendre à l’école. Des enseignants et autres membres du personnel éducatif ont interrogé des étudiants quant à leurs opinions politiques et sur de supposées activités anti-gouvernementales qui seraient les leurs et celles de leurs familles, frappant dans certains cas des étudiants qui étaient en effet engagés dans des activités hostiles au Gouvernement.
Des élèves, des parents d’élèves et des enseignants affirment avoir été les témoins d’attaques commises par les forces gouvernementales de sécurité et les milices, parfois même de tirs à balles réelles, contre des manifestations et défilés d’étudiants, lesquelles ont causé chez un certain nombre d’entre eux des blessures graves.
Dans les zones de combat, les forces armées syriennes ont commis d’apparentes violations des lois de la guerre en menant des attaques terrestres et aériennes contre des écoles qui n’étaient pas utilisées à des fins militaires. Au milieu de l’année 2012, les forces gouvernementales et leurs milices alliées ont fait feu sur des écoles à Daraa alors même que les élèves s’y trouvaient. Les forces gouvernementales ont aussi conduit au moins deux attaques aériennes contre des bâtiments scolaires dans le nord de la Syrie.
En fait, ce sont tant les forces gouvernementales que les unités de l’ASL qui occupent des écoles et les utilisent comme postes de commandement, casernes et centres de détention, ainsi que pour d’autres fonctions de nature militaire encore, mettant ainsi en danger le droit à la sécurité et à l’éducation qui est celui des enfants.
Les forces gouvernementales ont positionné des tireurs embusqués sur les toits d’au moins deux écoles du gouvernorat de Damas, cependant que, dans l’une d’elles, les élèves étaient toujours en cours. Les deux parties au conflit ont déployé leurs forces dans des écoles, dont certaines sont toujours ouvertes aujourd’hui, ce qui en fait des cibles militaires et place tant les élèves que le personnel scolaire à portée des tirs ennemis.
Avant le début de l’insurrection syrienne en mars 2011, près de 93% des enfants que la loi y autorise étaient inscrits à l’école primaire et 67% l’étaient dans l’enseignement secondaire, d’après l’Institut des Statistiques de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO). Environ 95% de la population âgée de 15 à 24 ans savait lire.
L’AWC estime que le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition ont la responsabilité commune de protéger les vies des enfants ainsi que leur droit à l’éducation. L’utilisation d’écoles à des fins militaires ne fait qu’exposer les enfants au danger et détruire tous leurs espoirs pour l’avenir.
L’ONU est l’instrument principal dont dispose la communauté des Etats pour guider en son sein la vie en commun, selon des normes que tous ont acceptées en ratifiant la Charte des Nations Unies et selon les dispositions du droit mondial.
L’AWC a toujours fortement défendu le Droit à l’Education et s’est toujours employée de manière active à soutenir le développement de l’éducation dans un véritable esprit international.
En conséquence, l’AWC appelle :
– Le Gouvernement syrien à cesser de faire interroger et punir les élèves par les enseignants pour « activités anti-gouvernementales », ainsi qu’à mettre fin aux attaques contre des écoles et autres sites civils protégés,
– Le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition à cesser de déployer leurs soldats à l’intérieur ou aux alentours d’écoles ouvertes.
Nous remercions grandement par avance le Gouvernement syrien et la Coalition nationale pour les Forces syriennes révolutionnaires et d’Opposition de veiller ainsi au respect en Syrie des normes internationales définies par l’ONU pour les droits des enfants.
Nous vous prions de croire, Excellences, en l’assurance de notre haute considération.
Prof. René Wadlow
Président
Association of World Citizens
Bernard Henry
Officier des Relations Extérieures
Bureau de Représentation auprès
de l’Office des Nations Unies à Genève
Association of World Citizens
Cherifa Maaoui
Officier de Liaison Afrique du Nord & Moyen Orient
Bureau de Représentation auprès
de l’Office des Nations Unies à Genève
Association of World Citizens
dimanche 5 mai 2013
5 ième forume Mondial des Droits de l'Homme
Le 5ème Forum Mondial des Droits de l'Homme se tiendra à Nantes du 22 au 25 mai
2013.
Plus de 3500 inscrits de 100 nationalités différentes.
http://www.spidh.org/index.php?id=1
Inscriptions :
http://registration.lacite-nantes.fr/iebms/reg/reg_p1_form.aspx?oc=10&ct=PROFILFR&eventid=23374
Le programme est téléchargeable par ce lien : http://www.recim.org/prov/Nantes_5e_FMDH.pdf - 40 pages (3,44 Mo)
Plus de 3500 inscrits de 100 nationalités différentes.
http://www.spidh.org/index.php?id=1
Inscriptions :
http://registration.lacite-nantes.fr/iebms/reg/reg_p1_form.aspx?oc=10&ct=PROFILFR&eventid=23374
Le programme est téléchargeable par ce lien : http://www.recim.org/prov/Nantes_5e_FMDH.pdf - 40 pages (3,44 Mo)
mercredi 27 février 2013
Mort de Stéphane Hessel
C'est avec beaucoup d'émotions que de nombreux citoyens du monde ont appris le décès du grand homme qu'était Stéphane Hessel dans la nuit de mardi à mercredi. Un homme dont le combat pour les droits des peuples a été mené sans relâche jusqu'à ces derniers instants. Il était l'Homme de l'indignation mais aussi et surtout du courage dans l'action.
En 2008, il avait publié un livre "Citoyen sans frontières "
une interview réalisée en 2008 :Stéphane Hessel, citoyen sans frontières
Une pétition pour demander au président de faire entrer l'indignation au Panthéon
http://www.avaaz.org/fr/petition/Stephane_Hessel_au_Pantheon_1/?fbrvIdb&pv=26
dimanche 17 février 2013
Une solidarité avec le peuple Tunisien qui s'impose
Une pétition pour marquée sa solidarité avec le peuple tunisien qui construit sa démocratie circule sur le Net. Une pétition consensuelle à laquelel les citoyens du Monde ne peuvent qu'adhérer
http://www.petitions24.net/appel_solidarite_internationale_avec_la_tunisie
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